lundi 4 décembre 2023

Nouveaux documentaires

 Vous retrouverez de nouveaux documentaires dans la rubrique : 

   suivez le guide (bandeau droite) puis : articles et reportages de nos adhérents internautes

Adhésion

https://drive.google.com/file/d/10U4uOPndXkKGtSNRsPKEj0T_cjME31Qn/view?usp=sharing

Renouvellement adhésion

https://drive.google.com/file/d/1zcNnHGHHIIYW7Sx19g8fEZb-7zLYUIwy/view?usp=sharing


samedi 11 novembre 2023

Cérémonie du 11 novembre 2023

Participation de la 448ème section d'entraide des médaillés militaires de l'arrondissement de Bar sur Aube à la cérémonie de commémoration de l'armistice du 11 novembre.

Le 11 novembre 2023 marque le sectenaire du ravivage de la flamme du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe, place de l'étoile à PARIS.


Hommage aux monuments aux morts

Défilé dans les rues de Bar sur Aube


mercredi 30 août 2023

Libération de Bar sur Aube

 Cérémonie du 79ème anniversaire de la libération de Bar sur Aube




jeudi 3 août 2023

Tour de Paris en Hélico

Excellent reportage : Très belles images. Merci à Pierre, notre passioné


 https://www.youtube.com/watch?v=QAzj95-YK3I

mardi 25 juillet 2023

Le commando Kieffer, un mythe français

 

Photo : Les commandos rendant hommage à Léon Gautier, le dernier vétéran du commando Kieffer, le 7 juillet 2023, sur la plage de Ouistreham. (Pascal Rossignol / Pool AFP)

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Ils étaient 177, et ils auront été les seuls français à être revenus sur leur sol en combattant, le 6 juin 1944. C'était le commando Kieffer, du nom de leur commandant. Léon Gautier, le dernier vétéran, vient de rejoindre ses frères d'armes, à l'âge de 100 ans, le 3 juillet dernier.

 « Nous ne sommes pas des héros, nous n'avons fait que notre devoir » , aimait-il rappeler lors des commémorations. Mais ce qui semble si évident aujourd'hui, rendre hommage au mythe français de ces 177 commandos, ne l'a pas toujours été, loin s'en faut. Après guerre, l'ambiance n'était pas vraiment aux célébrations des Français de Londres. Lors de sa démobilisation, à Rennes, Léon Gautier s'était ainsi entendu dire « les Français d'un côté, les gaullistes de l'autre » . Tout était dit. Ignorés après guerre, les survivants du commando Kieffer n'auront pas été mis à l'honneur avant des décennies. Chacun de ces héros survivants a dû se battre pour retrouver un emploi anonyme dans le civil. « La reconnaissance, est venue tardivement pour tous les engagés de la France Libre » , expliquait ainsi il y a quelques années le vétéran. « Le général de Gaulle préférait évoquer le Débarquement en Provence plutôt que sur les côtes normandes. Je crois qu'il ne digérait pas de ne pas avoir été averti. Je savais avant lui où on allait débarquer en France. Sur ce coup, les Britanniques ont un peu manqué de diplomatie... » 

C'est en 1942 qu'ont été recrutés les volontaires destinés à intégrer le premier bataillon de fusiliers marins commandos, en cours de constitution sous les ordres du commandant Philippe Kieffer. Après des mois d'entraînement en Angleterre, deux jours avant le D Day, Kieffer rassemble ses 177 hommes pour leur dire : « Messieurs vous connaissez les plans, vous savez ce qui vous attend, il n'y en a peut être pas une dizaine d'entre vous qui reviendront intacts. Celui qui ne veut pas partir, qu'il vienne me voir. Je ne lui en voudrais pas. » Tout le monde partira. Le 6 juin 1944, les 177 combattants Français retenus débarqueront en premier sur la plage Sword de Colleville-Montgomery. À l'époque, sous le tir des mitrailleuses ennemies, le caporal Léon Gautier, 21 ans, aura été le deuxième soldat français libre à poser le pied sur le sol français, derrière le lieutenant Alexandre Lofi, qui lui avait conseillé de ne pas le quitter d'un pas. Ce qu'il fut, sans jamais être blessé. Au final, le commando Kieffer emportera 1,8 km de plage en quelques heures. Il restera 78 jours en première ligne sans relève, montant jusque dans l'Eure. Les trois quarts périront au combat. Seuls 24 d'entre eux ne seront jamais blessés.

Aujourd'hui, le commando Kieffer est considéré, et à jamais, comme un symbole de l'engagement et du courage des Forces françaises libres. Un hommage a été rendu à son dernier représentant, Léon Gautier, le 7 juillet 2023, sur la plage de Ouistreham, à quelques mètres et dans la continuité de la plage historique. Mais comme il raconta, « on nous a laissés tomber comme de vieilles chaussettes au lendemain de la guerre » . « Où étiez-vous durant la Guerre ? » , lui demanda une secrétaire de mairie à Rennes. « En Angleterre » , répondit-il. « Alors, il fallait y rester Monsieur » … Il y retournera, travaillant comme carrossier, se mariant à Dorothy Banks avant de partir en Afrique puis, tardivement, de revenir s'installer à Ouistreham.

Il faudra en fait attendre le début des années 1980 pour que les commandos français conquièrent leur place dans les livres d'histoire, et dans les commémorations. Comme le disait simplement le dernier du commando Kieffer : « la guerre, c'est tuer des gens. Et tuer des gens, ce n'est pas un plaisir. Moi, quand ils se rendaient, j'étais content. [...] J'habite à 800 mètres d'où j'ai débarqué. Je suis très content de voir les enfants jouer et s'ébattre sur la plage en toute liberté. » 

Judikael Hirel


Merci à Christian S. pour cet article 

mercredi 21 juin 2023

Cérémonie du souvenir de l'appel du 18 juin 1940

La 448ème section des médaillés militaires de Bar sur Aube a participé au souvenir de l'appel du 18 juin 1940 du Général De Gaulle.



Merci aux adhérentes et adhérents qui se déplacent sur les lieux des cérémonies commémoratives. 



Le plaisir de partager quelques paroles avec les dames d'entraide et adhérents





jeudi 11 mai 2023

Cérémonie du 08 mai 2023 à Bar sur Aube

 La 448ème section a participé à la cérémonie du souvenir du 08 mai à Bar sur Aube. L'occasion de rencontrer quelques fidèles adhérents : dames d'entraide et membres associés mais aussi d'aller à la rencontre de quelques anciens militaires pour nous faire connaître.

Prompt rétablissement à Mme Jacqueline Makson, porte fanion des dames d'entraide



Départ de l'Hotel de ville pour se rendre au monuments aux morts.


Le drapeau de la 448 et du souvenir français.




vendredi 31 mars 2023

La 448 Ambassadrice de la Médaille Militaire à Vallentigny

 


Merci à celles et ceux qui font vivre notre section parfois par la pensée mais toujours avec le cœur.
Merci aux porte-drapeaux, aux présidents des sections de l'Aube et aux habitants de Vallentigny

jeudi 30 mars 2023

Opération Éphémère 23/27 mars 1970 - Participation de Pierre Grodard et du frère de Gilles De Cockborne

 En mars 1970, le général Cortadellas, Délégué militaire au Tchad depuis le 26 septembre 1969, décide la reprise du poste d’Ounianga-Kébir. C’est le début de l’opération « Ephémère ». Sous l’autorité du Commandant Dominique, ancien patron de la CAPIMa et chef de l’état-major franco-tchadien, deux sous-groupements se dirigent vers Ounianga-Kébir. ( B.E.T ) L’un est un sous-groupement motorisé composé de deux unités de l’A.N.T, la section d’intervention (S/I) de l’Adjudant-chef Renzi et le peloton de reconnaissance, de découverte et de combat (PRDC), renforcés d’une section de la compagnie d’appui et d’éclairage (CAE) du 2ème REP. L’autre sous-groupement, aéroporté, est formé par la CPIMa, aux ordres du Capitaine Soissong, a l’effectif de 146 hommes. Elle articulée en quatre commandos : Lieutenants Schaefer, Bergès, Gros La Faige et De Cockborne l’officier adjoint de la CPIMa, qui a constitué un commando de marche. Les rebelles sont estimés à 150 hommes.



• À l’aube du 23 mars, la SI et le REP abordent le Fort d’Ounianga-Kébir. Les rebelles installent un élément retardateur qui se sacrifie et permet leur fuite. Sur leurs traces, la CPIMa, après avoir été aérotransportée sur le terrain d’aviation d’Ounianga-Kébir embarque sur des camions libyens réquisitionnés, chargés de fûts de carburant, pour continuer la poursuite vers Gouro, à plus de 100 km. Le 1er Cdo reste à Ounianga en réserve .

• Le 24 mars à 6h 00, la compagnie progresse à pied et commence la fouille de la palmeraie. Un bouclage de la zone se met en place avec l’appui des AD4-Skyraider. 9 h le CDO De Cockborne accroche, les parachutistes Fourdrain et Béduchaud sont blessés;. Deux assauts sont lancés vers 09 h 40 : le Commandant-médecin Garcia est grièvement blessé (**) et le Caporal Gouret est tué ; le Lieutenant Gros -la- Faige, le Caporal-chef Piaskowski, le Caporal-chef Béhague et le Parachutiste Lovato sont blessés. Un 3ème assaut est lancé, au cours duquel le parachutiste Della Chiésa est blessé. Les blessés sont brancardés puis embarqués sur des camions libyens à destination d’Ounianga-Kébir (le vent de sable interdit le vol des hélicoptères) Le Commandant-médecin Garcia et le Parachutiste Della-Chiésa décèdent au cours de cette longue et difficile «évacuation sanitaire». Les rebelles parviennent à s’esquiver. Le 1er CDO renforce la C.P en fin d’après-midi.

• 25 mars, accrochage à l’Est de Gouro fin des vents de sable, les hélicoptères peuvent intervenir.

• 26 mars, fin du ratissage de la palmeraie, retour en hélicoptère sur Ounianga Kébir,réarticulation de la compagnie.

• 27 mars, héliportage à Ounianga-Sérir les rebelles sont retrouvés et accrochés : Les parachutistes Sidler et Harel sont tués; le Sergent Piris, le C/ch Martin, le cal Labuzan , le 1cl Harel sont blessés.

• 28 mars matin, la bande est pratiquement détruite. Fin de l’opération Éphémère.

• 31 mars, retour sur Fort-Lamy. Ces 4 jours de combats ont été extrêmement violents. Par une chaleur écrasante, dans une végétation difficile, accroissant l’anxiété de se faire « tirer » à bout portant par un adversaire déterminé. L’opération Éphémère se termine au prix de 5 tués et 9 blessés. Du côté des rebelles, 84 ont été tués, 28 sont prisonniers et 63 armes sont saisies.

** Après avoir soigné les premiers blessés, le Médecin- chef voulut rejoindre le 4ème CDO (2 bléssés). Blessé à la tête, il est évacué sous le feu par l’infirmier qui l’accompagnait le C-ch Bedel. ( Celui-ci sera brillamment récompensé par une citation à l’ordre de la brigade – fermer le ban).

mercredi 29 mars 2023

Commémoration des 170 ans de la Médaille Militaire

 Lors de notre assemblée générale qui s'est déroulée le samedi 25 mars 2023, nous avons commémoré les 170 ans de notre Médaille devant le monuments aux morts de Vallentigny avant d'y déposer une gerbe.


La médaille militaire

 



La médaille militaire est une décoration militaire française, instituée le 22 janvier 1852 par Louis-Napoléon Bonaparte (Napoléon III) destinée aux militaires du rang, aux sous-officiers, et à titre exceptionnel, aux officiers généraux.

Elle est parfois appelée Légion d’honneur du sous-officier, Médaille des braves ou bijou de la nation.

 

Le 22 mars 1852, face au carrousel du Louvre, Louis Napoléon Bonaparte s'adresse ainsi aux 48 premiers récipiendaires qui se sont distingués au cours des campagnes d'Algérie :

«[Début de citation] Soldats, combien de fois ai-je regretté de voir des soldats et des sous-officiers rentrer dans leurs foyers sans récompense, quoique par la durée de leurs services, par des blessures, par des actions dignes d’éloges, ils eussent mérité un témoignage de satisfaction de la patrie !

C'est pour le leur accorder que j'ai institué cette médaille. Elle assurera 100 francs de rente viagère ; c'est peu, certainement ; mais ce qui est beaucoup, c'est le ruban que vous porterez sur la poitrine et qui dira à vos camarades, à vos familles, à vos concitoyens que celui qui la porte est un brave.» [Fin de citation].

 

La médaille militaire est depuis décernée par le président de la République sur proposition du ministre des Armées, dans les conditions prévues par le Code des ordres nationaux (la Légion d'honneur, la médaille militaire et de l'ordre national du Mérite.)

 

Médaille militaire modèle IIIème République.

La médaille actuelle est une couronne de laurier d'argent qui entoure un médaillon d'or où figure l'effigie de la République, entourée d'un cercle d'émail bleu où sont inscrits les mots «REPUBLIQUE FRANÇAISE», le tout surmonté d'un trophée interarmes comportant une ancre, deux canons croisés, une cuirasse, une hache et une épée. Au revers, la médaille porte au centre du médaillon d'or, entouré d'un cercle bleu, la devise «VALEUR ET DISCIPLINE». Les feuilles et boutons de laurier sont liés de deux rubans entrecroisés en haut et en bas.

Son port et sa disposition réglementaire la placent immédiatement après la croix de la Libération (en troisième position par rapport à la Légion d'honneur) et avant l'ordre national du Mérite. L'insigne est suspendu à un ruban jaune bordé de vert des deux côtés.

Dépourvue de grades, elle est la seule décoration honorifique, avec l'ordre de la Libération, qui mette sur un pied d'égalité ceux auxquels elle est attribuée, du plus humble au plus prestigieux.

 Elle récompense à la fois les hommes du rang, sous-officiers, officiers mariniers et aspirants et, à titre exceptionnel, les officiers généraux, grand-croix de la Légion d'honneur, ayant commandé en chef devant l'ennemi ou qui ont rendu des services exceptionnels à la défense nationale.

La médaille militaire est, depuis sa création, la récompense des campagnes du second empire à nos jours. Elle réunit sous sa devise «Valeur et Discipline» les soldats les plus anonymes et les héros les plus populaires tels Georges Guynemer ou Jean Moulin. Elle compte parmi ses récipiendaires les plus grands chefs militaires contemporains tels que les maréchaux Joffre, Foch, Galliéni, Lyautey, Leclerc, De Lattre, Juin etc. et alliés tels que les généraux d’armée, commandant les troupes américaines John Pershing, Sir Douglas Haigh commandant les troupes britanniques ; à titre exceptionnel quelques civils comme Sir Winston Churchill, les présidents américains Franklin Roosevelt (A titre posthume) et Dwight Eisenhower, le prince souverain Louis II de Monaco…

Les deux premières femmes à avoir obtenu la médaille militaire, le 17 juin 1859, furent :

        Madame Rossini, née Barbe Jeanne Marie, cantinière aux zouaves de la Garde

        Madame Trimoreau, née Dagobert Madeleine, cantinière au 2ème régiment de Zouaves

 Par le décret du 14 décembre 1983, à titre exceptionnel :  Mr François Miterrand, président de la République française a décerné la médaille militaire à l'étendard du 1er régiment de chasseurs parachutistes dont 58 soldats périrent dans les attentats de Beyrouth du 23 octobre 1983.

 À l'occasion du 150ème anniversaire de la médaille militaire, par décret du 25 janvier 2002, Mr Jacques Chirac, président de la République française l'a décerné à quatre écoles de sous-officiers, en reconnaissance des sacrifices qu'ils (les sous-officiers) ont consentis :

         École de gendarmerie de Chaumont;

         École nationale des sous-officiers d'active de Saint-Maixent-l'École ;

         Centre d'instruction naval (CIN) de Saint-Mandrier-sur-Mer, devenu Pôle écoles Méditerranée ;

         École de formation des sous-officiers de l'Armée de l'air de Rochefort.

 Ainsi, à l'occasion de notre 99ème assemblée générale, L'UD 10, les 134ème,  448ème, 555ème et 691ème sections ont souhaité mettre à l'honneur notre prestigieuse médaille à l'occasion de son 170ème anniversaire.

 Les tables de notre banquet porteront le nom de quelques médaillés célèbres.

 Je vous remercie de votre attention. Vive la médaille militaire.


lundi 27 mars 2023

Galerie photos AG 2023

 Veuillez trouver ci-dessous le partage des photos de notre AG 2023

Merci à Nathalie P.

https://drive.google.com/drive/folders/1SRb6bmAV62Y-gTTHEMV6yrkLFGx075KE?usp=share_link

dimanche 26 mars 2023

Assemblée générale de la 448

 L'assemblée générale de votre section s'est déroulée le samedi 25 mars 2023 à Vallentigny 10500 où nous avons été très bien accueillis et retrouvés les liens de fraternité et d'amitié.


Hommage aux morts avec dépôt de gerbe


Commémoration des 170 ans de la médaille militaire




Photos devant la Mairie de Vallentigny type champenoise


Remerciements aux porte-drapeaux, aux présidents et épouses des 134ème, 555ème et 691ème section, aux adhérents, au conseil municipal de Vallentigny et à Mr le Maire :

Merci également à Nathalie d'avoir partagé ces belles photos










jeudi 16 mars 2023

Assemblée générale de la 134ème section de Troyes

 

Dépôt de gerbe avec les porte-drapeaux


Avec quelques adhérents dont le porte-drapeau et le président, nous avons représenté la 448ème section de médaillés militaires à l'occasion de l'assemblé générale de la 134ème section de Troyes.

L'occasion également de retrouver et d'échanger avec le président de l'UD 10 Janick S., président de la 555ème section de Romilly mais aussi Gérard L., président de la 691ème section de Bar-sur-Seine et le major Jean-François M, président de la 491ème section de Mailly le camp et bien sur Ernest P. président de la 134ème section de Troyes.

dimanche 22 janvier 2023

70ème anniversaire de Diên Biên Phû

Merci de participer à la demande du président et envoyer les photos sollicitées au mémorial des parachustistes 


https://drive.google.com/file/d/1TrYuCfxaFESYMdiEvLDjNcZSGf9C9yjE/view?usp=sharing